Bravo Championne
Projet personnel
Compte Instagram et affiches - Citations, 2018-…
https://www.instagram.com/bravochampionne/
Carte festive
Client : BOB agence
Carte de vœux des fêtes
Conception-rédaction des textes (collaboratif)
Vidéo complète ici 🎄
Nuthing Else
Client : DOSE
Landing page - Lancement de produits, 2019
Conception-rédaction, idéation des visuels et mise en page
https://content.dosejuice.com/fr/nutmilk
Site web clinique dentaire
Client : Clinique dentaire Sur le Canal
Textes du site web
www.surlecanal.com
(aperçus des sections Accueil, Soins et À propos)
Brochure d'abonnement
Client : DOSE
Brochure d’explication de l’abonnement aux produits DOSE
Conception-rédaction
Collection 90s Cool Kids
Client : Easy Lover Club
Communiqué de presse - Lancement de collection, 2018
90S COOL KIDS
Dans les années 90, on était des enfants. Cool? Peut-être pas.
Donc, on se reprend, près de 30 ans plus tard.
Dans les années 90, nos plus grandes angoisses étaient de savoir si la pile de notre GameBoy durerait tout le trajet vers Old Orchard; d’espérer qu’on apprendrait à faire du vélo sans petites roues juste avant la rentrée pour pas que notre crush Jérémie rit de nous et, surtout, de convaincre Maman & Papa de louer la salle de fête McDo pour notre 8ème anniversaire.
Dans les années 90, on pensait aussi à quand on serait plus vieux. On voulait être dentiste, chef, paléontologue ou princesse-pâtissière.
Dans les années 90, on était des enfants. Peut-être pas les plus cool, mais des vrais enfants typiques des années 90 : on jouait avec nos tamagotchi, mangeait de la gomme balloune et s’érafflait les genoux en tombant de nos bicycles à petites roues.
Aujourd’hui, on est designer, programmeur et consultants marketing, en plus d’avoir notre propre petite entreprise de t-shirts pas sérieux sérieux. On mâche de la gomme à la menthe, on a troqué le tamagotchi pour le iPhone et on tombe plus souvent en amour qu’en bas de nos vélos.
Easy Lover Club lance la collection 90s cool kids, une collection de t-shirts inspirés des années 90. Les nouveaux tees seront disponibles sur le www.easylover.club exclusivement à partir du 9 juillet. Fidèle à ses habitudes, la marque mélange les hauts et les bas du phénomène amoureux aux références pop dans ses illustrations graphiques.
En hommage aux Tommy, Champion, Fila & Kappa qui guidaient (et continuent de guider) nos garde-robes, la collection se décline dans les teintes de rouge, blanc, bleu ciel et noir.
What’s our age again?
…
In the 90s, we were cool kids. Well, maybe not that cool.
So 30-ish years later, we’re trying again!
In the 90s, we would be devastated if our GameBoy’s batteries would run out before getting to Old Orchard, devastated if we couldn’t get rid of our bike’s training wheels before Jérémie, our oblivious crush, laughs at us, and absolutely dejected if we couldn’t convince Mom and Pop to rent the MceeDee’s birthday room for our 8th birthday.
In the 90s, we were asked what we wanted to be when we grew up, and we answered with conviction that we would be dentists, breakfast cooks, paleontologists, and pastry-princesses.
In the 90s, we were kids. Maybe we weren’t cool, but we were typical 90s kids: we loved our tamagotchis, we blew chewing gum, and we scraped our knees with our rollerblades on too loose.
But today, we’re designers, programmers, marketing consultants, and we have our own little t-shirt shop.
We swaped the tamagotchi for the iPhone and we fall more often in love than we fall on the pavement of our parent’s driveways.
Easy Lover Club is releasing the 90s-inspired Cool Kids collection. The new retro tees will be exclusively available at www.easylover.club starting on the 9th of July. As per its modus operandi, the brand’s graphic design mixes pop-culture references with the ups and downs of lovers’ relationships.
In honor of our Tommy, Champion, Fila & Kappa that guided and still do guide our wardrobes, the collection falls into the red, white, sky-blue and black of the 90s.
All you people can't you see, can't you see?
Campagne All For Melons
Client : DOSE
Communiqué de presse - Lancement de campagne, 2017
MONTRÉAL, 23 MAI - DOSE Juice lance la campagne « #AllForMelons » afin de venir en aide aux femmes canadiennes dans le besoin. Une partie des profits des jus saisonniers, MELON & HONEY, sera versée à la Fondation Canadienne des Femmes. Les jus seront disponibles en ligne et chez tous nos détaillants.
QUELQUES FAITS À PROPOS DES FEMMES AU CANADA
En moyenne, une femme travaillant temps plein gagne 74 sous
pour chaque dollar gagné par un homme.
Les femmes n’occupent que 8% des positions les mieux rémunérées dans le top 100 des entreprises canadiennes les mieux cotées.
La moitié des femmes canadiennes a vécu ou vivra la violence physique ou sexuelle après l’âge de 16 ans.
Parce que ces chi res sont alarmants et injustes, nous désirons faire bouger les choses! C’est pourquoi les fonds amassés aideront à : développer des initiatives entrepreneuriales afin d’aider les femmes à augmenter leur revenu en démarrant leurs propres entreprises; soutenir l’Institut de Leadership qui aide les jeunes femmes leaders à obtenir des positions dirigeantes; contribuer au développement d’abris d’urgence qui sortent les femmes de contextes violents.
Aidez-nous à partager la campagne afin que nous puissions aider encore plus de femmes! Hashtag o ciel de la campagne : #AllForMelons #dosejuice
À PROPOS DE NOUS
La start up est née à Montréal d’une passion commune pour la santé. Geneviève et Raphael ont commencé à concocter des jus pressés à froid biologiques dans la cuisine de leur condo en 2013. Deux ans et demi plus tard, ils ouvrent leur propre usine à jus entièrement rénovée à Saint-Hyacinthe. Leurs nouveaux locaux comptent 4000 pieds carrés de superficie et sont totalement réfrigérés. Chaque jus contient des fruits et légumes crus, certifiés bios – rien d’autre. L’entreprise connait une croissance marquée, avec maintenant 11 employés, près de 250 points de vente et une distribution qui couvre le Québec et l’Ontario.
À PROPOS DE LA FONDATION
La Fondation canadienne des femmes est la seule fondation publique au Canada qui se consacre aux femmes et aux filles. Elle procure aux femmes et aux filles canadiennes les outils essentiels dont elles ont besoin pour se soustraire à la violence, sortir de la pauvreté, reprendre confiance et accéder aux rôles de leadership. Depuis 1991, la Fondation a mobilisé des fonds et investi dans plus de 1 400 programmes communautaires un peu partout au Canada, et compte aujourd’hui parmi les dix plus importantes fondations vouées aux femmes au monde. www.femmescanadiennes.org
T-shirts
Client : Easy Lover Club
Textes pour designs de chandails - Collections différentes, 2017 à 2019
McDo Perso
Projet personnel (Inspirations McDonalds)
Publicités fictives - Affichage, 2019
Les jus coûtent trop cher.
Client : DOSE
Publication Facebook - Contenu éducatif, 2018
https://www.facebook.com/dosejuice/photos/a.128505667356212/959096177630486/?type=3&theater
En réponse à un commentaire qui revenait fréquemment sur les jus pressés à froid :
« Les jus coûtent trop cher. »
« Les jus coûtent trop cher. »
Le prix d’un jus biologique pressé à froid est élevé? Oui, on l’avoue, lorsqu’on le compare aux jus conventionnels faits de concentré et d’eau.
Par contre, saviez-vous que les jus pressés à froid procurent les nutriments de jusqu’à 2 livres de fruits et légumes biologiques et sont donc sans pesticide?
Souvent, les gens (nous compris😬!) n'ont pas le temps / la volonté de manger les 8 à 10 portions de fruits et légumes qu’il est recommandé de consommer quotidiennement. En fait, 70% des Canadiens ne consommeraient pas plus de 5 portions de fruits et/ou légumes chaque jour (2016, Stats Can.).
C’est pourquoi nous avons créé nos jus & smoothies : pour simplifier vos collations et réduire vos fringales!🤸♀️
Parce que les muffins aux pépites de chocolat et les sacs de chips font du bien aux papilles gustatives (et à l’âme!), mais ils ne constituent pas un casse-croûte très naturel ou santé.
Le prix d’une bouteille de jus ou smoothie, faits de fruits et légumes frais, s’apparente à celui d’une bière ou d’un cocktail qui, quoique bien satisfaisants au goût et pour le moral, contiennent peu de nutriments et sont majoritairement faits à base d’eau et de sucres artificiels.
N’ayez crainte; nous adorons prendre un verre de temps en temps… quoi de mieux sur une terrasse l’été? (Avez-vous d’ailleurs essayé notre jus Taxi dans un mojito? Ou notre Kick avec du gin? Mmmm. Bon, on s’éloigne du sujet...).
Tout ça pour dire que :
Investir pour nous gâter et nous faire plaisir, on est pour ça!
Investir pour nous offrir des produits naturels et non transformés, on est aussi pour ça!
✌️☀️
Entrevues : KROY
Client : Le Point de Vente
Article de blogue - Entrevues, 2018
http://blog.lepointdevente.com/kroy/
ARTISTE DU MOIS – KROY
En septembre 2016, la chanteuse KROY, de son vrai nom Camille Poliquin, lançait Scavenger, son premier album solo. Authenticité, talent et sensibilité émanent de ce premier opus où la douleur et la mort sont au coeur des textes, appuyées par des mélodies électropop tantôt énergiques, tantôt enveloppantes.
KROY est l’artiste du mois chez Lepointdevente.com et elle a gentiment accepté de répondre à mes questions afin que l’on puisse en apprendre davantage sur ses inspirations, sa méthode de travail et ses plans pour 2018.
Tu as un style musical bien distinct. Ta voix est singulière: à la fois douce et puissante, parfois même lyrique. Les thématiques de tes chansons sont quant à elles plutôt sombres. Qu’est-ce qui t’inspire lorsque vient le temps d’écrire? T’est-il déjà arrivé de te dire que certains thèmes ne collaient pas à ta voix?
C’est toujours hyper personnel. Lorsque je compose, c’est parce que je ressens le besoin d’écrire sur des situations que je vis et qui me dérangent. C’est pourquoi je les aborde en fait, ça m’aide. Ensuite, je fais les arrangements musicaux avec les sonorités qui m’inspirent sur le moment. Je n’ai jamais eu l’impression que ma voix n’allait pas avec ce que j’écrivais. En fait, j’ai l’impression que les choses que je vis, je les vis pour une raison et qu’elles font partie de moi. Comme c’est moi qui se rapporte directement à mes textes, ma voix s’y rapporte directement aussi.
Tes chansons, même si elles peuvent paraître sombres, nous font tout de même du bien. Comment expliques-tu ça?
En fait, quand j’écris des chansons, c’est parce qu’elles me font du bien à moi aussi. J’ai toujours composé dans des moments où j’allais moins bien; l’écriture, c’est ma thérapie. Puis, je pense que les sujets que j’évoque, même s’ils sont obscurs, peuvent rejoindre certaines personnes parce qu’ils correspondent à des situations similaires et difficiles que beaucoup de gens traversent.
D’ailleurs, ton processus de création, il ressemble à quoi? Est-ce le texte ou la mélodie qui te vient en tête en premier?
Ni l’un ni l’autre ne vient réellement avant l’un ou l’autre. Je pense à des paroles qui sont aussitôt accompagnées d’un air dans ma tête. J’ai donc plein de petits bouts de chansons a capella enregistrés sur mon iPhone, sans nécessairement savoir quels seront les accords en bout de ligne. Quand je m’apprête à créer une chanson, je vérifie toujours si je serai en mesure de la jouer au piano. Ensuite, je peux m’appliquer à faire les arrangements.
On ne peut pas passer sous silence le fait que tu fasses partie du populaire duo Milk & Bone. Y a-t-il des idées que tu te permets d’explorer davantage en solo que lorsque tu travailles en groupe?
Oui, certainement. Je me garde un côté plus dark pour mon projet solo. Je n’hésite pas à évoquer la mort et d’autres thématiques plus macabres. Aussi, quand j’écris pour Laurence et moi, j’ai le souci de parler en nos deux noms. Je me dois d’utiliser un vocabulaire qu’elle utilise et de parler de réalités qui nous touchent toutes les deux.
Maintenant que 2017 est terminée, quel bilan en dresses-tu professionnellement?
Après la sortie de mon premier album à l’automne 2016, il y a eu plusieurs tournées. Je n’avais jamais fait ça auparavant. J’avais lancé un EP en 2012, mais les tournées solos, c’était du nouveau pour moi. J’ai donc appris à mener devant une foule de gens mes propres chansons, qui avaient si longtemps vécu à l’intérieur de moi ou en studio seulement. J’étais aussi excitée et heureuse de découvrir ce à quoi ressemble mon public: assez diversifié, mais constitué de beaucoup de jeunes, ce qui me fait énormément plaisir, car j’ai moi-même plongé dans l’univers de la musique alors que j’étais ado. J’étais surprise de constater qu’il y avait aussi pas mal de gars (rires). En fait, juste le fait “d’avoir un public” est toujours surprenant et fait plaisir!
Un an et demi après la sortie de ton premier album, travailles-tu déjà sur de nouvelles compositions?
Je suis incapable d’arrêter d’écrire! Je n’ai pas encore pris beaucoup de temps pour tout ça, mais j’ai plusieurs chansons qui dorment auxquelles je suis impatiente de donner un peu d’amour. Dans trois semaines, Milk & Bone sortira son deuxième album, alors il y aura beaucoup de tournées. Ça me permettra de mettre plus de temps sur les chansons et l’écriture pour KROY. J’ai bien hâte!
En 2018, quels sont les défis et les rêves que tu as envie de réaliser?
J’ai envie de retourner en Europe, principalement en Allemagne, où j’étais supposée donner un spectacle l’année dernière – le show avait été annulé puisque mon équipement s’était perdu durant le transport (puis avait finalement été retrouvé 28 jours plus tard… par chance!). J’aimerais aussi visiter l’Asie: rencontrer des gens là-bas, peut-être faire une petite perfo, tâter le terrain en fait. Ça m’a toujours attirée.
En terminant, pour les gens qui ne te connaissent pas vraiment encore, un show de KROY, ça ressemble à quoi?
Ça ressemble à 3 personnes sur une scène: mon drummer, mon claviériste et moi-même. Le drum est assez minimaliste et expérimental. Mon claviériste fait aussi les back vocals. Il y a des moments plus dansants et rythmés, d’autres plus doux et introspectifs. C’est jamais plate et c’est un show qui fait du bien je crois! En tout cas, il me fait du bien à moi (rires)! Ah oui, et je chante beaucoup! (re-rires)